La conscience d'un homme... Piatch

Dernière édition par -Gunners- le Dim 11 Oct 2009 - 13:19, édité 1 fois

"Un homme né est un homme banal, un homme née est une femme "
C'était il y a bien longtemps. Le tordu nommé Piatch par gentille moman
est né un 5 juin 2006 (évidement on ne parlera pas de pierre-IQ dans l'histoire.
Devant la telle fascination qu'était Habbo pour ce brave enfant, il rêvait d'une
richesse et d'un pouvoir absolut régnant sur l'hotel entier en laissant vivre s'est
occupant dans la pauvreté et la peur.

Il faut dire qu'à cette époque Piatch était le sosie de Dofa. Un vrai noob. Il croyait que
tout était possible sur ce jeu jusqu'au, même faire l'amour Bref Piatchounet était
un noob, un low, un plot, mais aussi un pauvre. Sa moman Habborigène ne lui donnait pas de
quoi se remplir les babines. Piatch rêvait comme Charlie de rentrer dans l'usine de Chocolat Wonka,
bien que lui pensait plutôt à rentrer dans le grand club de la Jet 7 Habbo.

Piatch grandissait. Il prenait de la gueule et était un ado insupportable. Malgré toutes
ces bêtises il obtenu finalement son diplôme de Habbovard avec franc succès.
A 7 mois d'ancienneté Piatch voulait prendre son envol et sortir du cocon familial.
Il demanda à Moman un peu d'argent, quelques mobis, et commença la Faculté des diablotins.
Fier de son petit appart mais voulant toujours plus, Piatch entama des plans machiavéliques
pour obtenir un salaire facilement... Son futur métier était TUEUR A GAGES.

Norman lui avait proposé ce poste très secret fondé par Sulake France pour éliminer toutes
les personnes militant contre la connerie du jeu, contre la connerie du staff, contre notre
exploitation, contre cette société de consommation virtuelle... Piatch aillait tuer de pauvres Habbo
qui ne voulaient pas être des moutons, mais il n'avait pas le choix et tuer, il aime sa...

La conscience d'un homme... Piatch Chap210

La conscience d'un homme... Piatch Chap210

« Je ne comprend pas
la cruauté mais la violence, si: parfois, il faut que ça sorte. »

Les jours passaient, et le
petit Piatch accumulait les connaissances d'un bon petit diablotin.

Norman était son
professeur principal et il avait un attrait particulier pour Pitach.

Le mino après les cours
de la journée devait encore encaisser une haine intérieur que
Norman lui enseignait avec un programme tout particulier: « Le
programme iHpo » qui concentrait des extraits d'images
extrêmement violentes provoquant chez n'importe quel interlocuteur
un profonde rage, une tel haine aurait permis à n'importe quel armée
de vaincre le monde Habborigène entier avec seulement une dizaine
d'Habbo. Mais Norman avait de projets bien plus intéressants qu'un
simple intérêt économique, et notre jeune Piatch pourrait bien
être le futur dictateur du monde.

Pour commencer son petit
job en collaboration avec Norman, Piatch se faisait passer pour un
simple jardinier et avait pour ordre de se rendre chez ses victimes
et de les abattes avec souffrance et sans pitié. Ce jour là, Piatch
devait éliminer Dr.Cortex, le profil de la victime indiqué que ce
personnage important était potentiellement dangereux par la
diffusion de propos anti-dictatorial et sa crédibilité via vis du
public de consommateurs.

La sonnerie de Cortex
sonna.

Piatch arrivait sur les
lieux et proposa ses services comme un chef. Après un moment de
réflexion, le Docteur Cortex accepta et laissa entrer le jardinier.
Dr.Cortex malheureusement n'était pas seul sans sa villa, sa fille,
sa femme et son fils se trouvaient eux aussi dans la pièce à vivre.
Tout en présentant son matériel à la famille, Piatch s'avança et
menaça avec un colt45 la famille, il les ligota et garda la jeune
fille avec lui... Avec toute sa pitié Piatch souhaita laisser les
enfants partir, ainsi que la femme de Cortex. Mais il se rappela du
programme iHpo et sortit sa tronçonneuse...

La tapisserie une fois
refaite, Piatch en profita pour fouiller discrètement la maison et
trouva un bon million en petite coupure, exalté il hésita puis pris
l'argent avant de s'enfuir. Le crime était parfait, il n'y avait
aucune bavure et Norman commençait à croire que sa relève était
assurée.

UNE SUITE ?