Corrige les fautes !

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchis la campagne,
Je partirais. Vois-tu, je sais que tu m'attend.
J'irais par la forêt, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeuré loin de toi plus longtemps.

Je marcherais les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruits,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderais ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrais sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs.

Voilà j'ai fais de mon mieux, et grâce au correcteur de FireFox, ça a été plus simple

Mort de rire

C'est faux

Rooooh

Bon, je laisse les autres faire car j'ai la flemme de rechercher x)

tDemain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs.

Et voila, normalement je n'ai rien oublié

Si t'as oublier

x)

Vinnsss a écrit:

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchi la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi seras comme la nuit.

Je ne regarderais ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrais sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs.

Non .

*Blandine* a écrit:

tDemain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs.

Et voila, normalement je n'ai rien oublié

Tu as mis une faute qu'il ne fallait pas mettre

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Mwahahahahaha

Lollipops/Etoile-Romantic a écrit:

Vinnsss a écrit:

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchi la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi seras comme la nuit.

Je ne regarderais ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrais sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs.

Non .

*Blandine* a écrit:

tDemain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs.

Et voila, normalement je n'ai rien oublié

Tu as mis une faute qu'il ne fallait pas mettre

LAQUELLE ? (Ah oui pour le "s" de "J'irais par la montagne, j'ai dû me tromper en mettant le rouge )

Roooh comment t'as su ? x,x'

Vive Google

Liberté de Paul Eluard, l'original fait 20 strophes mais j'en ai enlevé 11, je sais que vous êtes flemmards.

Sur mais cahiers d'écolier
Sur mont pupitres et les arbre
Sur le sable de neige
J'écrit tons noms


Sur les page lu
Sur toute les page blanc
Pierre sang papier ou cendre
J'écrit ton noms


Sur les images doré
Sur les arme des guerrier
Sur la couronne des rois
J'écrit ton noms


Sur la mousses des nuage
Sur le sueur de l'orages
Sur la pluie épaissent et fade
J'écrit ton noms


Sur les sentiers éveillé
Sur les routes déployait
Sur les places qui déborde
J'écrit ton noms


Sur la lampe qui s'allument
Sur la lampe qui s'éteind
Sur mais raison réunis
J'écrit ton noms


Sur la vitres de surprises
Sur les lèvres attendris
Bien au-dessut du silence
J'écrit ton noms


Sur la santée revenut
Sur le risque disparues
Sur l'espoirs sans souvenir
J'écrit ton noms


Et par le pouvoir d'uns mot
Je recommences ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommaient
Libertées.


Ca m'a vraiment gonflé de mettre autant de fautes.. donc du moment que vous avez trouvé quasiment toutes les fautes ça ira

Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J'écris ton nom


Sur les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom


Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom


Sur la mousses des nuages
Sur la sueur de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom


Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom


Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes raisons réunies
J'écris ton nom


Sur la vitre de surprise
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom


Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenirs
J'écris ton nom


Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté.

Voilà